RUBRIQUE DU CERCLE DE LISA

Petites inspirations

Lisa


 

 2014 - Poème N°26 

 
 Correspond à la chanson-ballade :
"Dépose-minute gare" (écoute sur demande)


Dépose-minute gare,
Mais gare à nous car...
Un désir fou nous accapare,
La fougue de nous s’empare.

L’après-midi déjà, ce hasard
Qui nous a servi son bon nectar...
L'éclair perçant de nos regards…
Assis, réunis, bavards…

S’effleurer dans la salle noire,
Attendre, surseoir
A cette envie de se revoir.
S’effleurer dans la salle noire...

Dépose-minute gare,
Mais gare à nous car...
Un désir fou nous accapare,
La fougue de nous s’empare.

Dépose-minute gare,
Le feu qui démarre sans crier gare...
La foudre en nous s’égare...
Comment retarder le départ ?

S’effleurer dans la salle noire,
Troublés dans le brouillard...
Détraqué le radar,
Folie du gyrophare...

Puis vint le dépose-minute gare…
Attention, c’est trop tard !

Dépose-minute gare,
Mais gare à nous car...
Un désir fou nous accapare,
La fougue de nous s’empare.

Dépose-minute gare,
Le feu qui démarre sans crier gare...
La foudre en nous s’égare...
Comment retarder le départ ?


 

 2014 - Poème N°25 

 
 Correspond au texte chantonné :
"Tu te déguises" (écoute sur demande)


Ces choses simples promises
Que tu mues en denrées rassises…
Tu retournes ta chemise
En prétextes et formules concises :
Tu es mal, c’est encore la crise…
Et me voilà à ta volonté, soumise !

Tu te déguises et tu joues
Tu te déguises, tu t’en fous
Tu te déguises, t’es devenu fou
Je t’en prie !
Tu te déguises et tu joues
Ca me hérisse, je l’avoue
J’ai plus ta notice, plus ton goût
Je te méprise, c’est tout !

Devenu froid comme la banquise,
Plus oblique que la Tour de Pise,
Partout tu veux avoir la mainmise,
Imposer ton expertise
Ou ton mutisme en guise de friandise,
C’est ça ton entreprise…
Pourtant je suis exquise !


Tu te déguises et tu joues
Tu te déguises, tu t’en fous
Tu te déguises, t’es devenu fou
Je t’en prie !
Tu te déguises et tu joues
Ca me hérisse, je l’avoue
J’ai plus ta notice, plus ton goût
Je te méprise, c’est tout.

Et la merveilleuse cerise
Au haut de ta cruelle sottise,
C’est le défaut de franchise.
Sacré roi de la traîtrise !
Je prends donc ma valise
Définitivement démise…
De tes mélodies mal mises…

Tu te déguises et tu joues
Ca me hérisse, je l’avoue
J’ai plus ta notice, plus ton goût
Je te méprise, c’est tout.

J’attends avec impatience
la totale indifférence...

Ré-do Ré-do pas mimi !


 

 2014 - Poème N°24 

 
 Correspond à la chanson-ballade :
"Le liesse à venir" (écoute sur demande)


Chantons ah là là ! Huhum
Chantons à la la...
La liesse à venir
Chantons ah là là ! Huhum
Chantons à la la...
L’allégresse de jouir
De nous !

J'ai pas osé vous le dire…

Je ressens là
Votre présence,
A deux pas de moi,
Dans cette salle immense
Avec tous ces gens...
Mais je prolonge le temps
Pour vous guetter furtivement...
Quelle élégance !
Vous souriez, souriez solairement !

Je baisse les yeux
J’ai l’âme qui chavire
Et le corps qui promet bien pire…
Je ferme les yeux...

Je rêve de vous :

Vous venez vers moi,
Glissez vos doux doigts
Le long de mes bras...
De l'amour, je deviens la proie...
Vous posez alors un baiser
Au coin
De ma bouche bée…

Chantons ah là là ! Huhum
Chantons à la la...
La liesse à venir
Chantons ah là là ! Huhum
Chantons à la la...
L’allégresse de jouir
De nous !

J'ai pas osé vous le dire…

Vous vous êtes rapproché...
Je frissonne tout dedans...
Vous m’avez effleurée,
Vous ne le savez peut-être pas...
Tant de monde là,
J’ai le vertige;
Et votre parfum m’enivre...
Vous parlez, discourez longuement, suavement !

Je baisse les yeux,
J’ai l’âme qui chavire
Et le corps qui promet bien pire…
Je ferme les yeux...

Je rêve de vous :

Vous me respirez, m'étreignez,
Me cueillez,
Sur la soie m'allongez...
Je vous pétris, vous choie...
Petit à petit
Vous m'infusez,
Petit à petit
Vous m'irisez,
En moi diffusez...

Chantons ah là là ! Huhum
Chantons à la la...
La liesse à venir
Chantons ah là là ! Huhum
Chantons à la la...
L’allégresse de jouir
De nous !

Oublier la crise
Et tout…

 

 2014 - Poème N°23 

 
 Correspond à la chanson :
"Chamis" (écoute sur demande)


Tu dis qu’t’as plein d’amis
Mais oui, mais oui
A qui tu décris ta vie
Mais si, mais si
Charmante image de toi
T’y crois, t’y crois
Ils likent à tour de doigts
Les ptits chéris en joie… 

Tu te sens si épanoui
Mais oui, mais oui
A jouer au messie
Mais si, mais si
Ils te sacrent roi 
T’y crois, t’y crois
Avec le miroir des voix
T’es pas seul, tu vois
 
Tout ça pour croire que tu existes,
Que tu vibres de ferveur dans cette liste qui s’étire… 

Tu ne choisis que les gentils
Mais oui, mais oui
A qui tu émets tes libres avis
Mais si, mais si
Soutiens promis parfois,
T’y crois, t’y crois
Sans cesse de l’émoi
Ton cœur qui bat… 

Et pourtant cette nuit 
Sans bras ni parfum ni bruit
Que des mots déconnectés
Etalés sur clichés, figés
A qui tu n’feras pas part
De cet âpre goût de cafard
Que ton chat câlin à tes côté
Qui sait et te connaît… 

Quelques heures pour t’effleurer de douceur,
Pour faire boire la lie de tes pleurs, de tes peurs
A un ange félin qui te sourit pour de vrai…  

Demain tu recommences la danse…tu remets les apprêts…
Mais si, mais si
Maintenant tu t’endors dans cette ronronnante suavité...
Mais oui, mais oui

Ronronron....

 

 2012 - Poème N° 22

 
 Correspond à la chanson
"Renaître en toi" (écoute sur demande)


Le temps qui passe 
Faut pas qu'on s'le gâche,
 Faut qu'on le passe
  A s'aimer...

Le temps qui passe
 Faut lui donner de l'espace,
 Qu'on s'y enlace
 Sans se lasser...

N'être qu'à toi, Renaître en toi
Occuper toute la place entre tes bras
N'être qu'à toi, Renaître en toi
Ne jamais se maudire, mais se dire les mots,
S'offrir, se remplir, toujours aller toujours plus haut,
Chercher l'absolu, ne pas se contenter du moyen,
Baigner dans ton bon jus et que tu boives le mien.
N'être qu'à toi, Renaître en toi

Le temps qui passe 
Faut pas qu'on s'le gâche
 Faut qu'on le passe
  A s'aimer...

Le temps qui passe
 Faut lui donner de l'espace
 Qu'on s'y enlace
 Sans pouvoir s'en passer...

Le temps qui passe 
Faut pas qu'on s'le gâche
 Faut qu'on le passe
  A s'aimer...

Le temps qui passe
 Faut lui donner de l'espace
 Qu'on s'y enlace
A jamais...

N'être qu'à toi, Renaître en toi

 

 2012 - Poème N° 21

 
 Correspond à la chanson :
"En s'aimantant" (écoute sur demande)


J'voulais enfuir
Tous ces déchets
Qui m'encombraient le coeur, la tête...

En vain... Tout pesait...

Et tu m'as dit : Récupère le temps qu'il te reste
Sans que tu ne te détruises ou te détestes...
Tu n'oublieras pas avant
Mais tu sauras enfin ce qui est important...
Viens, ce temps on va le vivre

EN S'AMADOUANT
EN S'AIMANT TANT
EN S'AIMANTANT
SANS TOUS CES DOUTES
EN S'AMADOUANT
DE PETITS "TOUT".

J'ai essayé de blanchir,
L'option clear,
Touches "Backspace", "Escape", "Reset"...

Rien... Rien de changé...

Alors tu m'as dit : Recycle tout ce reste
Sans qu'on ne se détruise ou se déteste...
Celle que tu es devenue,
Après tout ce chemin parcouru,
Je l'aime et l'attends 

EN L'AMADOUANT
EN L'AIMANT TANT
EN L'AIMANTANT
AVEC TOUS SES DOUTES
EN L'AMADOUANT
DE PETITS "TOUT".

J'ai pris la pelle, la fourche
Et même des pincettes,
Creusé des trous, 
Aux orties, je jette...

Demain, recommencer...

Alors tu m'as dit : Prends tout ce reste
Sans que tu ne détruises ou  rejettes...
Et construis-y le temps
Pour s'unir jusqu'au bout

EN S'AMADOUANT
EN S'AIMANT TANT
EN S'AIMANTANT
SANS TOUS CES DOUTES
EN S'AMADOUANT
DE PETITS "TOUT".

Alors tu m'as pris la main
Et je t'ai écouté : 
Récupère le temps qu'il te reste
Sans que tu ne te détruises ou te détestes.
Oh viens chérie, ce temps
 on va le vivre jusqu'au bout
EN S'AMADOUANT
EN S'AIMANT TANT
EN S'AIMANTANT
SANS TOUS CES DOUTES
EN S'AMADOUANT
DE PETITS "TOUT"...

 

 2012 - Poème N° 20

 
 Correspond à la chanson :
"Evidence" (écoute sur demande)


Chercher l'accord...
... Te retrouver...

T’es juste fou de moi,
Tu m’apprivoises du bout de ta voix, de tes doigts,
Tu égares mon âme en toi
Avec tous tes regards, fabuleux égards...

J’fais que t’aimer...
Eprise de liberté,
Tu m’as prise dans ton immensité
Pour m'y bercer,
Me protéger des voleurs de corps...

T’es juste tout,
En moi partout...
C’est juste nous,
Jusqu'au bout...
Evidence
Renaissance
Evidence
Evident !

T’es juste fou de moi,
Tu m’inondes de tes ondes,
Tu crois en moi,
Pas de crise dans ta foi;
Ta bouche, tes bras me happent,
Ton amour me lappe.

J’fais que t’aimer...
Nous deux, ça fait si longtemps,
Le temps nous redonne
La 2e chance,
La chance de l’automne...

T’es juste tout,
En moi partout...
C’est juste nous,
Jusqu'au bout...
Evidence
Renaissance
Evidence
Evident

Tu assouvis en harmonie
Mes soifs de corps et d'esprit.
Tu poses une trame
Dans mon âme sans la chaîne.
Tu me parles, me portes, me serres,
 Me sens, me goûtes,
Me vois comme je suis, me touches et m'envoûtes.
Tu enlèves la voilure
Sur mes déchirures,
Tu y greffes la lumière d'un sort
Jeté à jamais...

J'fais que t'aimer,
T'es juste tout...
Evidence,
Evident !

 

 2011 - Poème N°19 

 
 Correspond à la chanson :
"Loup d'amour" (écoute sur demande)


Loup d'amour, 
Encore une fois, encore une fois, encore...

Touchez-moi…
Loup d’amour…
Jusqu’à exulter…
Je suis cette plume fragile
Que vous savez protéger
Lorsque vous vous écoutez...

Exquis miracle de la lumière,
Que ces accords  d’aisance…
Dans nos danses
En couleurs d’ivresse des sens…

Vous vous infiltrez
Jusqu’au fond
Du substantifique
noyau
originel,
Et touchez,
Magnifique,
Ma moelle
En géniale
    Symbiose…  

Touchez-moi…
Loup d’amour…
Jusqu’à exulter…
Je suis cette plume fragile
Que vous savez réchauffer
Lorsque vous vous écoutez...

Enfilades
De sensualité…
Avec vous
Je réapprends…
Des frissons
A fleur de tout…
Hummmm
Délices…

Voyez-vous
Je suis dans ces instants
Une plume
si subtilement légère,
J’ondule dans vos désirs
Et mes envies inondent
Vos veines…

Sentez-vous
Ce fin flux silencieux
Sur lequel nous filons
Jusqu’à ce que l’ardeur
Se comble de ferveur 
Et de douceur infinie ?

Goûtez-vous
Ce long voyage
Où vous me ravissez,
Me portez et m’emportez
Jusqu’à un rivage
De délectation,
Cet autre univers
Où je suis vôtre
Et vous êtes mien ?

Entendez-vous
Alors ce murmure
Qui perdure ?

Touchez-moi…
Loup d’amour…
Jusqu’à exulter…
Je suis cette plume fragile
Que vous savez protéger
Lorsque vous vous écoutez...
 

Touchez-moi
Loup d’amour
Jusqu’à votre âme
Jusqu’à mon âme
Jusqu'à aimer
Jusqu’à nous deux…

 

 2011 - Poème N°18 

 
 Correspond à la chanson :
"Soyons flous" (écoute sur demande)


Ce n’est pas d'l’amour
Pas vraiment  de l’amitié
Mais un ruban coloré
Accroché aux coins de nos jours...

Ce n’est pas une idylle
Ni même de la volupté
Juste une virgule subtile
Entre les mois écoulés…

Mon Phil discret, moi son fidèle liseré

Il me dit : Vous avez raison, soyons flous, ma chère, soyons flous !*
Il me redit :  Vous avez raison, soyons flous, ma chère, soyons flous !
Il me confie : Ouvrez donc mes mémoires et lisez ce que j’ai écrit  :

Les absents habitent le présent de ceux qui s’en souviennent et …
 jusque dans leur silence ils peuvent les faire grandir. *

Ce n’est pas une alliance
Ni dépendance ni passion
Mais une danse en confiance
Sans le son des illusions...

Ce n’est pas d’la dévotion
Ni l’ivresse d’une flamme
Mais la douce émotion
Des clins d'œil à l’âme...

Mon Phil sacré, moi son fidèle liseré

Il me dit : Vous avez raison, soyons flous, ma chère, soyons flous...
Il me redit :  Vous avez raison, soyons flous, ma chère, soyons flous... 
Il me confie : Ouvrez donc mon grimoire et lisez ce que j’ai écrit  :

Quand on a peur de la joie, il reste la douleur... *

  Vous avez raison, soyons flous, ma chère, soyons flous...

(* avec l'aimable autorisation de Philippe Ségur)

 

 2011 - Poème N°17 

 
 Correspond au refrain
"Enlace-moi" (écoute sur demande)


Ne me laisse pas
Me lasser de toi !

Prends cette laisse
En ruban de soie,
Et avec délicatesse
Fais-en un collier pour moi...

Pour que parfois
Nous soyons juste heureux,
Juste tous les deux,
Encore et encore une fois...

Enlace-moi
De tes mots, de tes doigts, de tes joies...

Je n'en ai pas encore assez de toi
Je n'ai pas encore assez de toi...

 

 2010 - Poème N°16 

 
 Correspond à la chanson :
"J'étais là" (écoute en mp3 en cliquant ICI)


Quand ton coeur sans passion
tombait en perdition,
J’étais là
A sentir c'qui n’va pas…

Quand ton corps en scission
croulait sous les questions,
J’étais là
De toute bonne foi…

Quand les doutes en trublion
Renforçaient la pression ,
J’étais là
Bouquet de zinnias, de lilas…

Maintenant c’est moi
Qui aurais besoin de toi ,
Mais je n' te vois pas
Ne capte pas ta voix !
Plus un instant
Dans le sablier de ton temps.
Plus un mot, un présent
Pour me donner de l’élan !

Quand en vain tu poursuivais
la vérité ,
J’étais là
En bon petit soldat…

Quand tes yeux fatigués
En silence pleuraient,
J’étais là
J’ai brisé le cadenas…

Quand tu recherchais
Un espace de volupté,
J’étais là
Te prenais dans les bras…


Maintenant c’est moi
Qui aurais besoin de toi ,
Mais je n' te vois pas
Ne capte pas ta voix !
Plus un instant
Dans le sablier de ton temps.
Plus un mot, un présent
Pour me donner de l’élan !


Quand tu fus à mi-chemin
Entre deux âges et deux destins,
J’étais là
Sans juger quoi que ce soit…

Quand ta peur du lendemain
T’esquissait un ravin,
J’étais là
A te chanter la joie…

 Quand dans ton trop-plein
Tu cherchais ma main,
J’étais là
A combler tes desideratas...

Maintenant c’est moi
Qui aurais besoin de toi ,
Mais je n' te vois pas
Ne capte pas ta voix !
Plus un instant
Dans le sablier de ton temps.
Plus un mot, un présent
Pour me donner de l’élan !

J’étais là… et je suis...lasse !

 

 2010 - Poème N°15 

 
 
Correspond à la chanson :
"Tout roule avec mon ange" (écoute en mp3 en cliquant ICI)


 Aujourd'hui je te tutoie
Pour te dire que depuis une trentaine de mois
Je ne peux que te chanter des louanges
Tant tu te comportes comme mon ange
gardien
Contre la fange du quotidien !

Prés'ange, assist'ange, 
Bienveill'ange, élég'ange, 
Galang'erie,
Précieux mélange...
Tout roule avec mon ange !

Enfin oui je l'avoue,
Sans tes nombreux délicats atouts,
Mes rouges jours seraient trop étranges,
Je m'habitue tant à toi mon grand ange
gardien
Qui arrange si bien mon destin !

Prés'ange, assist'ange, 
Bienveill'ange, élég'ange, 
Gal'angerie,
Précieux mélange...
Tout roule avec mon ange !

Un coup d'fil, une pensée et tout à coup
Voici mon ange sans ailes et sans remous
Pour dissiper errances et dissonances,
Merci à toi adorable ange
gardien
Mon autre ange t'a mis sur mon chemin !

Prés'ange, assist'ange, 
bienveill'ange, élég'ange, 
Gal'angerie,
Précieux mélange
Alli'ange, ambi'ange, 
Assur'ange, clairvoy'ange,
Délivr'ange, réjouiss'ange, 
Biensé'ange, plais'ange, 
Tolér'ange, ambi'ange, 
Accoutum'ange, abond'ange, 
Puiss'ange... 

Tout roule avec mon ange !

 

 

 2010 - Poème N°14 

 
Correspond à la chanson :

 "Ma...douce étoile" (écoute sur demande)


Dans notre bulle de cristal
Monde parallèle, de rêves, d'idéal,
Tu dévoilais ton âme et ta moelle
Dans un déclic intersidéral !

Et maintenant as-tu trop peur... ou trop mal ?

Ma... douce étoile
J'te vois plus bien,
C'est comme si t'étais allé beaucoup trop loin !
Viens, ma... si chère étoile
Retrouve le chemin,
C'est trop d'ombre et de froid si tu t'éteins !

Dans la voie lactée de notre toile
Cadrée en triangle équilatéral,
Tu inventais un nouveau thème astral
Pour un minimum vital très cordial !

Et maintenant as-tu trop peur... ou trop mal ?

Ma... douce étoile
J'te vois plus bien,
C'est comme si t'étais allé beaucoup trop loin !
Viens, ma... si chère étoile
Retrouve le chemin,
C'est trop d'ombre et de froid si tu t'éteins !

Dans notre univers au flash spatial
Troublé par des émotions estivales,
Tu proposais un récital triomphal
Dans une trêve verticale originale !

Et maintenant as-tu trop peur... ou trop mal ?
Capteras-tu ce message un peu spécial ?

Ma... douce étoile
J'te vois plus bien,
C'est comme si t'étais allé beaucoup trop loin !
Viens, ma... si chère étoile
Retrouve le chemin,
C'est trop d'ombre et de froid si tu t'éteins !

 

 

 2010 - Poème N°13 

 
 
Correspond à la chanson :
"Des p'tits canards aux grandes godasses"
 (écoute sur demande)


Des p'tits "canards" aux grandes "godassses" 
Que des vampires qui agacent et lassent,
Te harassent de leurs rumeurs fadasses
Issues d'âmes si basses !
Taratata, te ratatinent...
 Taratata et t'assassinent...
Cancaner devient un crime !

Leurs yeux exorbités saignent
Jusqu'à concevoir du rouge partout,
Leurs oreilles traînent
Jusqu'à en engendrer des propos fous.
Ils ignorent ce que tu fais 
Mais raconte à 100 % en malveillance,
Leur logique ne servant qu'à expulser
Leurs souffrances en abîme de médisances !

Des p'tits "canards" aux grandes "godassses" 
Que des vampires qui agacent et lassent,
Te harassent de leurs rumeurs fadasses
Issues d'âmes si basses !
Taratata, te ratatinent...
 Taratata et t'assassinent...
Cancaner devient un crime !

Ils s'ennuient tant qu'ils gaspillent leur énergie
Avec des jumelles, pistolets de désarroi,
Pour tirer des conclusions pleines d'ineptie
Sur la légende de ta vie, sans savoir ce qui brille en toi.
Il y a là même des grenouilles de bénitier
Absolues de toute mauvaise conscience,
Et des personnes qui ne vont jamais ni se cultiver,
 Ni s'ouvrir à la tolérance, ni créer leur propre existence !

Des p'tits "canards" aux grandes "godassses" 
Que des vampires qui agacent et lassent,
Te harassent de leurs rumeurs fadasses
Issues d'âmes si basses !
Taratata, te ratatinent...
 Taratata et t'assassinent...
Cancaner devient un crime !

Irrite-toi une dernière fois
Et dédie-leur cette chanson,
Ils se reconnaîtront s'ils ont encore un peu de bonne foi !
Qu'ils balayent devant leur porte
Et se regardent ensuite dans un miroir !
Et qu'ils te laissent en paix
Avec tes amis, dans le respect... et la vraie vie...


Des p'tits "canards" aux grandes "godassses" 
Que des vampires qui agacent et lassent,
Te harassent de leurs rumeurs fadasses
Issues d'âmes si basses !
Taratata, te ratatinent...
 Taratata et t'assassinent...
Cancaner devient un crime !

 

 2010 - Poème N°12 

 
Correspond à la chanson :
 
"Poème du délicieux souvenir" (écoute sur demande)


Oh quel délicieux souvenir 
Qui si souvent vient me cueillir !
Je n’ose toujours pas te le dire
Tous ces soupirs que tu m’inspires !

Il y a longtemps ce mot
Posé là si simple, si doux, si beau :
Et si nous goûtions le parfum de nos peaux ?
Alors ravie je t'ai rejoint là-haut...

Je suis venue m’accroupir,
Vénérer notre désir,
T'embrasser, te caresser, te saisir,
Nous laisser assaillir...

Jamais je n’en ai eu à rougir,
C’est juste que j’ai dû me retenir
De ne pas encore et encore nous réunir
Pour d’autres moments à refleurir...

Quand je me réveille
C’est ton image qui veille,
Ton sourire sensuel
Qui me raconte le monde et ses merveilles.

Oh quel délicieux souvenir 
Qui si souvent vient me cueillir !
Je n’ose toujours pas te le dire
Tous ces soupirs que tu m’inspires !

Là il faut nous rendormir,
La vie nous a offert d’autres plaisirs,
Pourtant j’aimerais tant te redécouvrir,
Passer du temps, contre toi me blottir

Et entendre encore ta voix,
Me raconter cent fois
Tes histoires, tes exploits,
A l’envers et à l’endroit...

Parler des heures et rire,
Et que j'te regarde et que tu m'respires,
Mais pas d'espoir, pas d'avenir,
Rien qu'un délicieux souvenir...

Ah quelle joie, quelle liesse,
Tes mots et tes doigts qui naissent
Dans mes rêves de délicatesse,
Encore maintenant, sans cesse...

Oh quel délicieux souvenir 
Qui si souvent vient me cueillir !

Maintenant j'ose et je te les chante
Tous ces soupirs qui m'enchantent !

 

 2010 - Poème N°11 

 
Correspond à la chanson :
 "Chaque reflet" (écoute sur demande)


Chaque parcelle
De chaque instant
Dessine ta présence...

Chaque reflet
De chaque pensée
Te rejoint là-bas…
Et  t’entend murmurer :

1. Merci Mon cœur, mon âme, ma belle ,
Je sais bien que tu m’appelles…
Je sens même dans mes veines
Ton corps qui m’emmène
Si loin…

Attends ,
Laisse le temps
Nous toucher de sa grâce,
de sa douceur
délicate...


Chaque parcelle
De chaque instant
Désire ta présence...

Chaque reflet
De chaque pensée
Te rejoint là-bas…
Et  t’entend chuchoter :

2. Merci ma douce, ma sœur cruelle ,
Je médite mais tout s’emmêle ...
Dans le silence où je me démène
Tu t’immisces en chant de sirène :
Si, viens…

Attends ,
Laisse le temps
Nous toucher de sa grâce,
de sa douceur
délicate...


Chaque parcelle
De chaque instant
Dénonce ton absence...

Chaque reflet
De chaque pensée
Te rejoint là-bas…
Et  t’entend susurrer :
 

3. Merci ma chair, ma femme nouvelle ,
Je frissonne au toucher de tes ailes ...
Tes rêves s’imposent et se déchaînent,
Tu disposes de moi et m'entraînes
Si bien…

Attends
Laisse le temps
Nous toucher de sa grâce,
de sa douceur
délicate...

 

 

 2010 - Poème N°10 

 
Correspond à la chanson :

"Va oublie-moi" (écoute sur demande)


Ref. a : Ce qui était ne sera plus,
Ce qui me seyait ne me sied plus,
La joie dans nos voix a disparu...
Ce qui me seyait sera-t-il ?
Tes doutes et nos joutes m'annihilent,
Plus rien de léger, de facile...
Pourtant nous étions si soyeux, si soyeux...

1. Tu me fais toujours l'éloge du bel amour universel,
Pourtant les jours noirs où je ne me sens pas bien, où je me sens sans mes ailes,
Aucune empathie, aucune fleur de ta part, que des propos cruels !

Ref.b : Depuis qu'elle est revenue t'es plus toi,
Ou alors c'est vraiment toi et tu ne me plais pas comme ça !
Va oublie-moi,
Laisse-moi tranquille sur mon île !

2. Tu affirmes que le réel amour c'est du détachement !
Et plus  je marche en écoutant tous tes boniments,
Plus je sens le vide, l'absence, mon éloignement...

3. Tu préfères tant le silence aux réponses claires !
Tu brimes ton enthousiasme, ta spontanéité en un éclair !
Quelle souffrance, quelle tristesse ! Tu m'exaspères !

4.La seule fois où tu ris, où tu t'épanouis c'est quand tu dis :
Que les autres ignorent qu'on s'réincarne, qu'on a plusieurs vies...
Du coup tu oublies de VIVRE celle qui BRILLE MAINTENANT et ICI !

 
Traître tomise blanche qui discrètement s'agrippe à sa proie venue butiner...

 

 

 

 2010 - Poème N°9

Pourquoi

Quand je te vois

Tu me fais l’effet

D’un bonbon acidulé

A l’épais glaçage sucré

Que j’ai tant envie de suçoter

Doucement 

Mais qui au fond ne fond jamais vraiment ?

 

 2010 - Poème N°8

Après des heures de veille,
Les ombres se relayent.

La nuit tombe…

Le cordon se fissure,
Les étoiles s’éteignent,
S’ouvrent les blessures
Et les doutes saignent…

Tu as emporté tant de moi
En partant trop tôt là-bas,
Et je te sens encore ;
Qu’est-ce donc la mort ?

Chute d’une colombe…

Tant créé, tant humé,
Tant su, tant cru,
Tant tu, tant bu,
Tant tendu, tant touché…

Me voilà nue dans la pénombre…

Ce sont cent ans qui ont passé
L’innocent  printemps et l’indécent été…
Me reste cet automne qui cherche un sens,
Un effrayant hiver où neige la souffrance…

La houle, le tangage,
Le poison des silences et des langages,
La lame, les flots
Brimés, cachés dans mes mots...

Qui aura pu sans juger, sans casser,
Distiller ce que j’ai de meilleur ?
Qu’est-ce qui pourra encore me sublimer
Lorsque m’envahit la peur ?

Discrètement, je sombre…

Qui m’aura comprise, mon âme saisie,
Dans ceux qui ont croisé mon chemin ?
Qui pourra insuffler à ma vie
Le répit d'aujourd'hui et la lumière de demain ?

Douce musique au fond des catacombes…

Merci, je saurai encore le dire,
Et dans tous mes miséreux soupirs,
Je sourirai à ta tendresse et à la forêt…
Je bénirai l’un de mes deux cœurs comblé…

  Réagir, croire alors, ramer
Sans pagaie,
Régir cette barque oppressive…

Il y aura bien un jour une rive…

(Un esprit  sage
Et diaphane,
saisissant le message
En filigrane ?
Récupérant au fond de moi
L’œil enjoué d’autrefois ?)

 

Pour un poème joyeux, revenir peut-être plus tard dans l'année

 

 2010 - Poème N°7

Cette vergerette délicate et pâle
Se débarrasse inconsciemment de ses pétales
Au gré du vent
Au gré du temps
Une à une, pour prendre enfin l’air.

Elle se sent de plus en plus légère
Plus rien ne la désespère
Puisque les rêves restent dans son cœur
Comme une lumière,
Un parfum de fleur
Nécessaire.

Continuer à rester debout,
Différente, méconnaissable, jaunie, amaigrie
Mais avec un reste essentiel qui sourit…
Ca semble rien mais c’est tout
Pour elle…

Et les ailes
Lui poussent
Et l’emmènent
Vers des plaines
Si douces….
Où elle revit…

Sans agitation et sans bruit
Sans angoisse et sans peur
Le pays d’ailleurs...

 

 2009 - Poème N°6 

Ah, lorsque l’AMOUR fut encore ce mot VIERGE
De tout ébat
De tout débat,
Ecrit en grand et caractères gras,
Plein d’euphonie jetaimiste et de respect,
Cet idéal… autre mot vierge soudainement bafoué à tout-va…

Amour devenu mot VERGE, mot d’ivresse et de liesse,
Mot retombé parfois bien bas,
Débridé,
Secoué aux sauces les plus épicées
De cocktails sucrés-salés…
Ce mot qui reste quand on lui dit « Va-t’en ! »
Ce mot qui part quand on l’attend.

Amour accostant sur les BERGES. Mot disert,
Panthère exigeante ou lion rampant,
Mot en pointillé...
Amour-désert, mais qui ne cesse jamais
Même dans l’aridité et les couleurs qui dessèchent…
Mot aux relents acides-amers
Qui crache de curieuses implorations.

Mot lit, mot démoli, en lettres déliées…

Amour, mot BERGER, gardien débordé de souvenirs,
Beau mot engrossé d’espoirs dépassés.
Amour, ah, mot mort qui se récrit alors en catimini
Dans des mémoires qui l’astiquent et l’embellissent…
Loin du vice et du trop-plein des passions…
Amen

Et puis, il y a cet amour-là,
Ce mot simple que je trace à l’encre invisible,
Mot qui sourit sans autre prétention que
« Je suis bien avec toi… »
Mot sans alexandrins, aérien et divin...
Mot qui respire joliment avec trois fois rien…

 

 

 2009 - Poème N°5

Ils sont cent

A me solliciter

A se nourrir de mon sang...

Et sans empathie 

Ils s'agrippent à mes bras...

 

Ils sont trois (tout au plus)

A me demander comment vas-(tu)...

Si je nage ou si je coule...

Et avec un coeur souriant

Ils me tendent leurs bras fleuris...

 

 

 

 2009 - Poème N°4 

Assise là sans voix ni idées

Quand mes yeux furent attirés

Par un voile mis dans le ciel

Comme nul autre pareil…

Je ne savais comment dire

Où sont les mots pour en parler

Que des images à mon secours :

Un artiste qui s’inspire d'un ciel ensoleillé

Pour pousser trois caresses de pinceaux blancs…

Un tableau prenant et surprenant…

Et c’est là que foudroyée

Je fus prise d’un grand sentiment…

Je me mis à chanter :

Oh mon cher enfant

Cette œuvre enchanteresse, c'est toi !

Tu es comme un papillon posé sur ma vie

Et qui tourbillonne dans un flot de lumières

Légères et claires…

Mon bonheur nécessaire…

 

 

 2009 - Poème N°3

Dimanche

5 h du matin

Seule sur la terrasse

Eveillée trop tôt

Le monde dort

Les plantes s’étirent

En bâillant...

Je  hume l’air pur

Et l’absence de voitures...

Un seul oiseau

Appelle

Qui appelle-t-il ?  

 

 

 

 2009 - Poème N°2  

Ein auffälliges Benehmen sag ich dir

... Weiß du, ich habe doch meine Muttersprache verloren

den ich hab' sie verborgen müssen.

Es war ein heimtückischer Stattbefehl !

Und ich habe gehorchen !

Und trotzdem, plötzlich, am frühen Morgen

wenn mein Sinn wieder klar ist,

oder manchmal am trüben Abend

wenn ich so müde bin,

kommen sie diese Worte...

Irischer Wirbel !

Und ich möchte gern mit sie tanzen,

die Meisterin werden...

Mit dir sprechen wie ich es tat

als ich klein und rein war...

 

 

 

 2009 - Poème N°1 

Ton aquarelle m’interpelle :

Des hommes et des femmes

Sans manteaux d’or ni d’argent

Aux lignes diaphanes

Avec leur seule âme en diamant.

 

Ils vont mais où vont-ils ?

Ils règnent mais sur quoi ?

 

Sans guenilles ni oripeaux

Sans mensonge ni séduction

Seul leur esprit nouveau

S’enflamme en saines aspirations…

 

Il y a là une quête du divin

Une demande de légèreté

Une  recherche vaine du serein

     Cette veine au doux vent de vérité…

....

Et arrivés sur l'Ile,
l'éternel silence qui leur répondra...

 


 

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