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Amour,
passion, souffrance... les mots se défient dans des parfums mélodiques...
Parfois tendres, parfois crus, l'essen-ciel et le super-flux y sont exprimés...
dans un jeu magique...
Simple plaisir des émotions profondes
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2- Texte de Michelle R - 21 avril 2002 |
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Le chemin pour me retrouver En
cette journée un peu trop grise, je me sens perdue Oserais-je
en deux temps, mettre mon cœur à nu ? Que
de mots simples, ai-je lu et si souvent entendu A
quel carrefour de ma vie, suis-je donc parvenue? Les
souvenirs anciens s’éloignent en toute simplicité Je
joins mes deux mains en prière pour être écoutée Mes
mots deviennent un doux murmure qui est allégé Je
sais qu’un jour ou l’autre je serais juste exaucée. Sur
mon chemin je marche dans la lourde
solitude Ce
qui n’est pas à mes yeux une réelle habitude Dans
mes mains, je tiens mes propres certitudes Elles
sont aussi froides qu’un hiver trop rude. Je
cherche la chaleur extrême qui me réchauffera En
moi se lève certes, ce brin de vie qui me guidera J’ai
besoin de ces bras qui se tendent vers moi De
cette main tendre, qui vers demain m’emportera. Je
me retrouve face à moi, que faire, me taire ou haïr Je
suis bloquée sur cette route où j’aimerais courir Vers
ce nouvel avenir qui m’invite déjà à sourire Sans
connaître mon lendemain certain, meilleur ou pire.
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3- Texte de VD- 20 décembre 2001 |
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Les
hétéros qui s’ bécotent sur les bancs publics…. Sympathiques
….. Toujours
marchent main dans
la main,
romantiques… Le
monde pour témoin
s’épousent, féerique… Se
promettent à jamais bonheur,
idyllique …. Mais
quand ce ne sont
plus il et elle Mais
il et il, ou elle et elle Marcher
main dans la main, l’air de rien S’embrasser
en public … héroïque… On
s’affiche on provoque on s’exhibe…. Du
tout, du tout ! On
s’aime, c’est tout… Homos
gigotent, homos s’ bécotent N’homos
d’amours au grand jour… N’homos
doux sur les bancs publics En
public…
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| 5- Texte de Sonja Guerrier - février 2002 |
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Les
petits riens Ils
poussent au suicide ou
raccrochent à la vie Les
petits sourires. Ils
pansent les blessures ou
arrachent des lambeaux de chair Les
petits mots Ils
invitent à l'évasion ou
enferment dans des labyrinthes Les
petits rêves Ils
coupent les ailes ou
font balbutier le coeur Les
petits gestes Ils
pardonnent sans réfléchir ou
jugent sans pitié Les
petits regards Ils
remplissent les marges de la vie Les
petits jeux Ils
font un bruit de tonnerre Les
petits silences Il
se nourrit de petits riens
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| 4- Texte d'Alexandra H - février 2002 |
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Assise sur Assise sur Pourtant tu perdures C’est comme si Ah nos jouissances qui
colorient l’ambiance de nos rencontres ! Alors j’écris comme
si je vivais un délicieux songe Pauvre peur, pourvu qu’elle ne puisse pas nous perdre… Grand amour, donne-moi ta main et permets-moi de te respirer… |
| 3 - Texte de Jenny M - 5 janvier 2002 |
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Je
ne suis pas grand chose ; Seulement
un p'tit bout de femme Qui
combat les anges du mal Et
une douce Colombe Qui
distribue sans compter : Un
zeste d'amour, Une
once d'amitié, Une
tonne de partage. Je
suis ce petit oiseau Qui
lutte contre le racisme Car
il faut aimer son prochain Tout
en acceptant sa différence ; Par
de simples mots, J'efface
les maux, Les
douleurs, Les
malheurs, Les
frayeurs... Ô
! Je ne puis le faire réellement, Seulement
par mes écrits, Mes
pensées, Ma
sagesse. Oui,
je suis une Colombe de la Paix Qui
donne sans compter Ici-bas
: Que
cela soit pour un sans-abri, Un
enfant des rues, Un
aveugle qui demande sa route, Un
sourd qui cherche des renseignements Ou
un jeune vagabond qui est perdu... J'ne
suis qu'un p'tit bout d'femme En
pleine fleur de l'âge Et
je me sens bien dans ma peau Pour
affronter " vents et marées ", Corbeaux
et vautours. Je
vole jusqu'au Népal, Je
traverse les frontières, Les
villages, les rivières ; Je
vole offrir la Paix Sur
chaque chemin Là
où le rejet et le silence Cohabitent
avec la haine, le désarroi et les doutes ! J'ne
suis qu'une Colombe de la Paix Face
aux Grands Hommes sans coeur, Mais
main dans la main, Nous
pouvons franchir les barrières Et
tous ensemble, réclamer Un
monde de paix ! Je
vole encore et toujours, J'ne
suis qu'une Colombe de la paix. Paix
et Sérénité |
| 2- Texte de MH - 3 janvier 2001 |
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Ce
fut une erreur, Une belle erreur pourtant !
Il
ne me trouvait pas jolie... Pourtant
nos folies Ont suçoté le lit rougi… Il
ne me susurrait rien de tendre Mais
toujours il venait me tendre sa main Pour
m’emmener remplir la panse Sans
penser A
qui nous sommes… à qui nous fûmes… Fumée... D’ailleurs
ceci est une poésie A
l’image de sa prose romantique Qu’il
ne comprenait pas vraiment, Car
la femme pour lui N’est
pas un poème, Et
tout le blème Est
dans cette absence de douce musique… Les
sentiments chez certains Ne
sont queue… symphonie de dédain… Et
ça c’est dommage Car
moi je l’aimais …
bien… Mais
comme il dirait « C’est
déjà du futur »… Manque
les 3 mots magiques, juste 3 petites notes …
c’est le hic… le seul… Et sans cette poésie… je m’enfuis… Pardon . |
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